Georges Ward: paraísos
Georges Ward se inspira en lo más puro y sagrado, se inspira en la naturaleza. Su temática navega entre la fantasía y la realidad, invitándonos a asomarnos a una ventana desde la que poder contemplar sociedades paralelas a las nuestras. Sus obras elaboradas con destreza de orfebre, configuran universos, mundos materializados con sus propios códigos que nos muestran la pirámide de la vida y critican el avance de los grandes hormigueros humanos del siglo XXI, revelándonos una realidad que se nutre de la ficción y viceversa, creando así una sinergia onírica. Cada planta, cada insecto y cada organismo representa un rol social, o acaso un ser real, que está estrechamente relacionado con el día a día de nuestras vidas. La extinción masiva de nuestro patrimonio, pulmón que nos conecta con nuestro interior, se va acelerando por el stress consumista. Sus escenarios teatrales, repletos de flora y fauna, muestran una atmósfera que enraíza con la sinestesia de la imagen por medio de la simbiosis y donde la sugestión estética no está por ello exenta de cierta crítica; un feedback que nos muestran paraísos llenos de proporción áurea y biodiversidad, cargados de elementos simbolistas. Un Imperio de los sentidos, lleno de composiciones coloristas, que nos habla de la vida y de la muerte, en su continua transformación.
WEB GEORGES WARD http://georgesward.com/
Paraíso de Monegrillo I y II - El Sabio de Torrero - Juslibol, Paraíso de Sol
Georges Ward utilise comme source d’inspiration tout ce qu’il y a de plus pur et de plus sacré dans la nature. Les thèmes qu’il choisit oscillent entre la fantaisie et la réalité nous invitant à nous pencher à une fenêtre d’où nous contemplons des mondes parallèles aux nôtres. Ses oeuvres, élaborées avec l’habileté d’un orfèvre, forment des univers, des milieux matérialisés grâce à des codes qui lui sont propres et qui nous montrent la pyramide de la vie. Ces ambiances, en même temps, observent d’un oeil critique le développement des grandes fourmilières humaines du XXIème siècle, nous dévoilant une réalité qui s’alimente de fiction et vice versa, créant ainsi une synergie dans le rêve. Chaque plante, chaque insecte et chaque organisme, tient son rôle dans la société. Et pourquoi ne pas voir aussi une personnification étroitement liée à la quotidienneté de nos existences? L’extinction à grande échelle de notre patrimoine , le poumon qui nous relie à notre monde intérieur, s’accélère à cause de notre stress de consommateur. Ses scènes de théâtre, dans une profusion de flore et de faune, montrent une atmosphère qui s’enracine avec la synesthésie de l’image au moyen de la symbiose où l’évocation esthétique n’est pas pour autant exempte d’une certaine critique ; c’est un feedback qui nous montre des paysages de proportions « nombre d’or »et de biodiversité, chargé d’éléments symboliques. Un Empire des sens, rempli de compositions colorées, qui nous parle de la vie et de la mort, en une perpétuelle transformation.
Georges Ward en ZTV from Georges Ward on Vimeo.